La création d'une ultra-particule U en un point M de l'éther provient de la condensation d'une certaine étendue X d'éther dont on peut admettre (cf. H1) que son énergie est de la forme E = k.V.uM, où k est une constante, V le "volume" de X, et uM la température absolue de l'éther au voisinage de M. Le principe de conservation de l'énergie étant supposé valable dans E2, c'est cette énergie E que l'on doit attribuer à l'ultra-particule. La fréquence nu = 1/T de l'onde broglienne émise par U dépend évidemment de V ; l'hypothèse la plus simple consiste à supposer qu'il y a proportionnalité entre nu et V. En posant kV = m, on peut donc écrire : E = m.uM et m = nu x constante. D'où l'hypothèse suivante, qui sera justifiée par l'exactitude de ses conséquences :
H4 (Hypothèse de l'énergie) - A toute ultra-particule U, située en un point M de l'éther, on attribue l'énergie E définie par les formules :
E = m.uM et m = h.nu/c² où uM est le potentiel gravitationnel (température absolue de l'éther) en M, m un paramètre appelé masse de U et qui est la charge de U dans le champ gravitationnel, nu la fréquence 1/T de l'onde broglienne émise par U et h une constante qui est précisément la constante de Planck.
Les cookies assurent le bon fonctionnement de ce site et des médias sociaux affichés. En utilisant ce dernier, vous acceptez notre utilisation des cookies.